Voter pour moi, c'est voter pour VOUS !
La Nation Debout, c’est :
Un socle existentiel : nommer le réel, agir tout de suite, préparer les générations futures. Dire la vérité, même quand elle dérange, au lieu de vendre des illusions électorales.
Un cap lucide et humain : nous ne promettons pas des lendemains qui chantent, mais un pays capable d’affronter l’inéluctable avec courage, solidarité et intelligence.
Une méthode : des réformes concrètes, applicables, parfois rudes mais justes, fondées sur la réalité du terrain et non sur les postures.
C’est aussi un mouvement qui refuse le double langage.
Nous parlons de souveraineté, mais pas pour flatter : pour défendre nos biens communs, nos terres, nos ressources, notre dignité collective.
Nous parlons d’écologie, mais pas de façade : pour mettre fin aux absurdités qui détruisent la planète au nom du “vert business”.
Nous parlons de justice, mais pas d’idéologie : pour protéger les plus fragiles, sanctionner sans hypocrisie, et redonner sens à la loi.
En clair, La Nation Debout, c’est la France qui refuse la résignation.
C’est un peuple qui choisit de regarder en face les difficultés, mais aussi de se redresser, d’agir et de transmettre.
Un slogan résume tout : "Evoluer pour durer”
J'ai choisi la nation parce que pour moi c'est l'ensemble des citoyens libres et égaux qui décident de vivre ensemble, de partager des droits, des devoirs et un destin commun.
J'ai choisi debout parce que la France a toujours su traverser les crises et se relever plus forte et plus éclairée.
La Nation debout, c'est toute une équipe réunie en une seule personne
“Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres.” , Romain Gary
Tolérance : Attitude qui consiste à admettre chez autrui une manière de penser ou d'agir différente de celle qu'on adopte soi-même ; fait de respecter la liberté d'autrui en matière d'opinions. (Le Robert)
Homme : Être (mâle ou femelle) appartenant au règne animal, mammifère de la famille des hominidés (Le Robert)
Être humain en général
Liberté d'expression : La liberté d'expression est le droit pour toute personne de penser comme elle le souhaite et de pouvoir exprimer ses opinions par tous les moyens qu'elle juge opportun.
Considérée comme une liberté fondamentale, la liberté d'expression est inscrite dans la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (ONU, 1948, article 19) :
"Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."
La liberté d'expression a comme corollaire la liberté de la presse, la liberté d'association, la liberté de réunion, la liberté de manifestation mais aussi le respect d'autrui.
Elle est souvent restreinte par certaines conditions particulières qui interdisent l'incitation à la haine raciale, nationale ou religieuse ou l'appel à la violence physique contre les individus. Il en est de même pour la diffamation, la calomnie, le négationnisme, l'atteinte à la propriété intellectuelle, l'atteinte au secret professionnel.
« Liberté, Egalité, Fraternité. Rien à ajouter, rien à retrancher. Ce sont là les trois marches du perron suprême. La liberté, c’est le droit, l’égalité, c’est le fait, la fraternité, c’est le devoir. Tout l’homme est là…
Les heureux doivent avoir pour malheur les malheureux ; l’égoïsme social est un commencement de sépulcre ; voulons nous vivre, mêlons nos cœurs, et soyons l’immense genre humain… »
Victor Hugo, « Le droit et la loi », préface de Actes et paroles, 1875
EST CE SI DIFFCILE LA PAIX ?
Depuis six mille ans la guerre
Plaît aux peuples querelleurs,
Et Dieu perd son temps à faire
Les étoiles et les fleurs.
Les conseils du ciel immense,
Du lys pur, du nid doré
N'ôtent aucune démence
Du coeur de l'homme effaré
Les carnages, les victoires,
Voilà notre grand amour ;
Et les multitudes noires
Ont pour grelot le tambour.
La gloire, sous ses chimères
Et sous ses chars triomphants,
Met toutes les pauvres mères
Et tous les petits enfants.
Notre bonheur est farouche ;
C'est de dire: Allons! mourons!
Et c'est d'avoir à la bouche
La salive des clairons.
L'acier luit, les bivouacs fument ;
Pâles, nous nous déchaînons ;
Les sombres âmes s'allument
Aux lumières des canons.
Et cela pour des altesses
Qui, vous à peine enterrés,
Se feront des politesses
Pendant que vous pourrirez,
Et que, dans le champ funeste,
Les chacals et les oiseaux,
Hideux, iront voir s'il reste
De la chair après vos os!
Aucun peuple ne tolère,
Qu'un autre vive à côté
Et l'on souffle la colère
Dans notre imbécilité.
C'est un russe! Egorge, assomme.
Un croate! Feu roulant.
C'est juste. Pourquoi cet homme
Avait-il un habit blanc ?
Celui-ci, je le supprime
Et m'en vais, le coeur serein,
Puisqu'il a commis le crime
De naître à droite du Rhin.
Rosbach ! Waterloo ! Vengeance !
L'homme, ivre d'un affreux bruit,
N'a plus d'autre intelligence
Que le massacre et la nuit.
On pourrait boire aux fontaines,
Prier dans l'ombre à genoux,
Aimer, songer sous les chênes ;
Tuer son frère est plus doux.
On se hache, on se harponne,
On court par monts et par vaux ;
L'épouvante se cramponne
Du poing aux crins des chevaux.
Et l'aube est là sur la plaine !
Oh ! j'admire, en vérité,
Qu'on puisse avoir de la haine
Quand l'alouette a chanté.
Liberté, égalité, fraternité -I (extraits)Victor Hugo,
tiré du recueil de poème Les chansons des rues et des bois, 1866